L’importance historique des inscriptions fut reconnue dès les années 1841–43. Le directeur du génie von Mühlbach et le Premier-lieutenant von Cederstolpe en font réaliser des esquisses, et leur emplacement est représenté sur un plan détaillé. Suite au démantèlement décrété en 1867, ces inscriptions ont ainsi pu être sauvées et conservées pour la postérité. Elles furent remises à la Section Historique de l’Institut Grand-Ducal afin d’intégrer un futur musée. En 2010, cinq épigraphes provenant de l’écluse Bourbon, des forts Grand-Wallis, Grand-Élisabeth et Rubemprez ont été retrouvées dans le dépôt du Musée national d’histoire et d’art et exposées au Musée Dräi Eechelen. Rédigées en latin, elles témoignent de l’agrandissement de la forteresse par les Autrichiens entre 1728 et 1735. Ces pierres furent posées en l’honneur de Marie-Élisabeth, gouvernante générale des Pays-Bas autrichiens, et des commandants de la forteresse Wallis et d’Olisy.